A corps perdus

A corps perdus

du poids des stéréotypes

Printemps 2011 à la galerie La Récréation, Montréal.

Catalogue de l’exposition

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Dans un jeu qui a comme moteur une fascination pour le corps et pour ce qui est hors normes, je pose des questions qui se veulent d’étonnantes passerelles entre nos idées préconçues et la réalité.

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Ce projet a pour but de prendre conscience des enjeux intellectuels et émotionnels relatifs au corps dans notre société en questionnant les codes et repères dans lesquels elle se complait.

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Mes mondes névrotiques créés par la mise en scène de réalités sur-exagérées, permettent l’évocation des maux qui se cachent dans la chair et mettent en lumière les liens complexes et étroits qu’elle entretient avec l’esprit.

Le Cri

Refusant de réduire l’art à une parenthèse illustrative, je veux, par la monstruosité de mes personnages, bousculer l’attitude contemplative et passive qu’ont plusieurs devant une œuvre. Il ne suffit plus d’être présentable ou admirable pour être évocateur, ni indifférent à la différence. Il faut défier la dichotomie corps/âme et fouiller le tréfonds du champ de conflit chez l’homme.

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Catalogue de l’exposition

Lettre de Franketienne

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6 Responses to “A corps perdus”

  1. c’est déguelasse !!

    • Je ne comprends pas. Que voulez-vous dire?

    • Hahahaha… Si vous n’avez rien de plus éloquent ou normalement et clairement exprimé à proposer, c’est que nous sommes en présence de l’art et que son effet est réussi.

      Et que vous n’avez d’égal que votre incommensurable insignifiance.

      • Parce que je vous demande d’expliquer votre commentaire, sûrement sincère mais, admettez-le, vide de sens critique, vous en déduisez que je n’ai rien à proposer?

        À cela vous ajouter que l’art, quand son effet est réussi, n’a rien à exprimer? Quel étrange point de vue. Je comprends maintenant pourquoi vous vous êtes borné à me lancer un simple «c’est déguelasse» (qui, en passant, s’écrit dégueulasse).

        Ce qui m’intrigue, c’est le fossé qui existe entre votre capacité à bien structurer les phrases, à choisir un joli vocabulaire, et votre vacuité, qui semble extraordinaire, en matière de culture. Sidérant.

        Mais sachez, monsieur dont j’ignore le nom (est-ce vous Simon?) que j’apprécie que vous preniez la peine de me communiquer les sentiments que vous suggèrent mes œuvres, aussi primaires et peu structurés soit-ils.

        Pour ce qui est de l’utilité de mon œuvre, elle fait au moins ceci de bien: elle permet en un instant de distinguer les cons et les gens peu ouverts d’esprit. Ce n’est pas peu.

        Mais pour plus de détails sur ma démarche, il vous faudra faire l’effort surhumain de cliquer sur le lien suivant et de lire mon texte curieusement intitulé «Biographie et démarche». Peut-être y trouverez-vous quelques munitions qui alimenteront votre prochaine réplique, ce qui vous évitera de tirer, encore une fois, dans tous les sens et sans intelligence.

        Biographie et démarche

      • Sentez-vous bien à l’aise de répondre quand vous le voulez. Prenez le temps qu’il faut pour bien démontrer ce que vous avez avancé: l’art ne propose rien et je suis d’une incommensurable insignifiance. J’ai bien hâte.

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